eclau

Salut Erica!

Depuis la mort de Tounsi, l'eclau n'avait plus vraiment de chat, Quintus ne s'y plaisant que peu vu sa cécité et son grand âge. Je ne cherchais pas activement un chat, j'avoue. Cela fait à peine quatre mois que j'ai perdu Tounsi. Mais parfois, il y a des concours de circonstances et des chats qui tombent du ciel.

Je vous présente Erica, que j'avais repérée errant dans un quartier voisin il y a deux ans. Je vous passe la longue histoire, mais après des années dehors à manger à toutes les gamelles, elle va devenir le chat de l'eclau.

img_2078.jpg

Elle est très sociable, très câline. Elle a l'habitude de sortir, mais il faudra qu'elle reste enfermée au moins trois semaines ou un mois avant de mettre la patte dehors – surtout que son ancien domicile n'est pas si loin d'ici. Pour le moment, elle semble apprécier les croquettes, les caresses, et le coussin bleu du canapé en cuir.

J'en ai profité pour remettre à jour la page "chats" du site.

Big Apéro pour fêter les huit ans de l'eclau le 03.11.2016

Il y a huit ans, j'étais en plein rush pour trouver les premiers membres de l'eclau qui allaient me permettre de signer le bail. Le 3 novembre 2008, je reçois les clés et l'eclau ouvre officiellement ses portes. On commence par faire un gros trou dans le mur pour fêter ça, et un peu plus d'un mois plus tard, un apéro qui sera le premier d'une longue série. Voici donc les infos pratiques pour l'apéro des 8 ans de l'eclau.

  • jeudi 3 novembre dès 18h (on commencera gentiment à terminer vers 21h)
  • apéro dînatoire, vous n'en sortirez pas le ventre vide!
  • si vous voulez amener quelque chose pour contribuer à l'apéro (boire ou manger) c'est volontiers, mais pas obligatoire
  • inscrivez-vous sur Facebook (ou dans les commentaires/e-mail/SMS si vous n'avez pas Facebook)
  • les amis de nos amis sont nos amis: invitez-les, c'est sympa de rencontrer des nouvelles personnes aussi

Apéro à l'eclau

On se réjouit de vous voir le 3 novembre!

De l'architecture et de ce qu'on fait dans nos espaces

Depuis des années, je présente l'eclau comme un espace où l'on travaille bien. Dès le départ, ça a toujours été plus un lieu pour les indépendants établis qui ont du travail à abattre que pour les entrepreneurs qui ont besoin de réseau et de ressources. Certes, ce n'est pas une ligne rigide (on a des startups, et on réseaute quand même, hein), mais cela donne quand même une certaine "couleur" à l'espace. water cooler eclau

Et l'autre jour, je tombe sur un article de James Clear qui parle de l'influence qu'a l'environnement sur nos pensées et actes -- et en particulier l'architecture.

En bref:

  • pièces grandes, hauts plafonds, lumière naturelle, air extérieur: encourage la pensée créative
  • pièces plus petites, plafonds bas: focus et concentration, productivité

Tiens, tiens!

PS qui n'a rien à voir: l'eclau s'associe avec d'autres espaces romands pour lancer les workshops du coworking. On a besoin de votre avis pour le choix du premier sujet!

 

L'eclau en trois minutes (vidéo)

Hier soir a eu lieu un First Rezonance intitulé Génération CO: coworking, cocréation and co. Les espaces coworking de la région étaient invitées à se présenter -- j'ai donc fait le déplacement sur Genève pour aller parler de l'eclau quelques minutes. http://youtu.be/-r4o9zC3idg

Un grand grand merci à Bruno Chanel qui a eu la gentillesse de tenir la caméra pour filmer mon intervention.

L'eclau a 5 ans aujourd'hui

Il y a cinq ans, jour pour jour, je recevais les clés de l'eclau et on abattait le mur séparant les deux "pièces". Vendredi qui vient, on fêtera dignement ça sous forme d'un mythique apéro dînatoire de l'eclau (les anciens se souviendront).

Je profite pour remercier du fond du coeur tous les membres, ex-membres, et amis de l'eclau qui ont fait partie de cette aventure tout au long des années. Et que les cinq prochaines soient encore meilleures!

Des légumes à l'eclau? Tous les jeudis après-midi!

Depuis ce printemps, je reçois chaque jeudi un panier de légumes (bio et local svp!) de la coopérative Le Jardin Potager. Ça ressemble à ça, par exemple: Paniers du Jardin Potager 6 Paniers du Jardin Potager 4

Comme un panier c'est un peu beaucoup pour une personne seule (même avec un appétit comme le mien et deux repas par jour à la maison), je distribue à droite et à gauche mon surplus. Voisine, copines, et des fois membres de l'eclau.

En parlant de ces paniers, j'ai réalisé que plein de monde aimait l'idée mais que c'était trop (en quantité ou en régularité) pour beaucoup de personnes. L'idée est née (je ne sais plus exactement comment) de prendre un panier pour l'eclau. Ainsi, chaque jeudi après-midi, les personnes intéressées se servent dans le panier (et mettent quelques sous dans la tirelire, sachant qu'un panier c'est 20.-).

On démarre la semaine prochaine! De mon côté ça n'a pas été très dur d'obtenir un panier en plus. J'ai demandé, et hop. Côté coworkers, j'essaie comme toujours de garder l'infrastructure aussi light que possible. J'irai donc chercher le panier en début d'après-midi chaque jeudi, puis le laisserai à disposition à l'eclau avec un rouleau de sachets en plastique. J'ai proposé qu'on démarre avec un système "premier arrivé, premier servi, discutez si nécessaire et soyez sympas" qui marche déjà assez bien pour la place de parc et la salle de réunion.

Quand on a de la chance, la liste des légumes du panier est à disposition sur le site à l'avance, mais ce n'est pas toujours le cas, donc je posterai une photo sur la page Facebook de l'eclau quand je prends les paniers. Pour les amateurs et intéressés, il y a aussi une page Facebook Le Jardin Potager et un groupe pour coopérateurs (et autres!) pour échanger recettes, photos, et discussions autour des légumes du panier.

L'eclau, c'est chouette en été!

C'est Elisabeth qui me disait ça tout à l'heure alors qu'on était dans le petit parc pour manger un muffin au chocolat avec Corinne, qui est ici de passage. L'eclau en été, c'est vraiment sympa avec toute cette verdure!

C'est vrai que le cadre est super. C'est calme, et c'est tout entouré de verdure. En été, on vit les fenêtres ouvertes (sauf quand il fait trop trop chaud), et on a presque l'impression de travailler au jardin. Quelques photos.

L'eclau en été, c'est vraiment sympa avec toute cette verdure!

L'eclau en été, c'est vraiment sympa avec toute cette verdure!

L'eclau en été, c'est vraiment sympa avec toute cette verdure!

Que vous soyez membre de l'eclau ou non, rappelez-vous que chaque lundi du mois se tient le pique-nique canadien des coworkers. C'est surtout qu'on puisse se retrouver un peu au moins une fois par mois, mais on aime bien rencontrer des nouvelles têtes, donc n'hésitez pas!

Prochain lunch: lundi 1er juillet.

Quel genre d'espace coworking est l'eclau?

De retour de la conférence Coworking Europe, j'ai la tête qui fourmille d'idées concernant le coworking. C'était extrêmement intéressant pour moi de pouvoir échanger avec d'autres gestionnaires d'espaces. De comparer nos notes. Et aussi, de voir en quoi l'eclau ressemble ou ne ressemble pas à d'autres espaces coworking. Par exemple, l'eclau est un très petit espace. 100 mètres carrés, une quinzaine de membres réguliers (et on bat des records, là) -- c'est "mini" à côté d'espaces qui friment avec des centaines de membres.

Après, il faut voir ce qu'on appelle un "membre". Dans certains espaces, on peut être "membre" en payant une cotisation mensuelle de 20-30 CHF, ce qui nous inscrit sur une mailing-liste, mais ne donne pas accès à l'espace physique. Comparez ça au périple menant à l'inscription à l'eclau (et les six mois d'engagement…) -- on n'est pas dans le même "business".

Parlant de business: si environ trois quarts des gestionnaires d'espace coworking sont comme moi, c'est-à-dire qu'ils gagnent leur vie en faisant autre chose, il y en a tout de même un bon quart pour qui l'espace coworking est le gagne-pain. On apprend ça -- et plein d'autres choses intéressantes -- en consultant les résultats du 2e Global Coworking Survey annuel de Deskmag.

Côté prix, disons-le tout de suite, l'eclau fait figure d'espace extrêmement bon marché pour ce qui est de l'abonnement mensuel. A Paris, on est facilement à passé 300€ par mois (pour une formule "nomade" sans bureau fixe). Allez faire un tour sur Deskwanted pour vous faire une idée des prix. On comprend que certains arrivent à en vivre.

Maintenant, c'est clair qu'au niveau des services, ces espaces "primary business" sont extrêmement actifs niveau animation de la communauté.

Comment se positionne donc l'eclau?

  • un lieu pour travailler et être productif avant tout
  • l'occasion de briser l'isolement du freelance, sans pour autant tomber dans le réseautage effréné
  • prévu pour les indépendants plutôt que les entrepreneurs
  • centré sur des postes mobiles
  • petite communauté
  • pas cher
  • gestionnaire "first wave" (idéaliste-non-commercial)
  • des chats.

Côté animation, l'eclau a vu passer des apéros, des petits déjs, des jelly, et maintenant le lunch mensuel des coworkers (et autres si affinités -- les lunchs sont annoncés sur la page Facebook de l'eclau, si jamais). Je crois pouvoir dire qu'on a trouvé un bon équilibre entre "possibilité de bien travailler" et "possibilité de rencontrer des gens sympas/intéressants".

L'eclau dans le Financial Times

De temps en temps il y a un article sur le coworking qui parle de l'eclau. De temps en temps avec une photo. L'autre jour, Ian Sanders m'a demandé si je pouvais répondre à quelques questions pour un article qu'il était en train de préparer. Je passe les détails, mais on s'est soudain retrouvés avec un photoshoot "dernière minute" à l'eclau la semaine dernière. Je pensais que ce serait pour illustré un petit encart consacré à chaque espace coworking mentionné -- mais non, c'est la photo qui illustre l'article!

Je vous laisse le lire ici en PDF ou bien en ligne, si vous n'avez pas peur du "register-wall" du Financial Times: The lure of the water cooler.

Quand le coworking cesse-t-il d'être du coworking?

Je viens de tomber sur cet intéressant article, "Coworking is Going Big Business" (via @daveg). A sa lecture, je me repose la question qui refait surface environ tous les six mois: qu'est-ce qui fait que le coworking, c'est du coworking? Quelle différence avec un bureau partagé? Et avec un business centre, ou un "centre d'affaires", comme disent nos amis québécois? Quand je regarde les espaces gigantesques dont il est question dans l'article, qui commencent à attirer de grosses entreprises qui y placent leurs employés, je finis par me demander si tout ça a encore quoi que ce soit à voir avec ce que nous faisons à l'eclau.

Tout d'abord, qu'est-ce qui différencie le coworking du bureau partagé "classique" et du business centre? Pour moi, c'est assez simple:

  • Dans le cas du bureau partagé, les frais sont partagés entre les occupants; il y a un nombre de places ou de postes fixes dans le bureau, et on cherche à les remplir pour que la division fonctionne. Quand quelqu'un part, on le remplace. On est dans une logique de sous-location de poste de travail ou de véritable colocation à responsabilité partagée, suivant comment on a choisi de s'organiser.
  • En ce qui concerne le business centre, la différence fondamentale tient dans la nature commerciale du business centre. Il s'agit de gagner de l'argent, d'être rentable. C'est un business. Le coworking, dans son esprit, est très clairement not-for-profit: c'est le côté humain et la qualité de l'environnement qui est l'objectif principal. Un espace coworking peut être rentable (quoique...), mais le souci de rentabilité reste toujours subordonné à la qualité de l'expérience offerte aux coworkers. Je crois fermement que lorsqu'on essaie de rendre le coworking rentable, on court grand risque d'en perdre l'esprit et de finir par gérer un business centre.

Revenons une seconde sur cet "esprit" du coworking. On se souvient qu'à la base, le coworking, c'est une solution "grassroots": des indépendants, las de travailler dans les cafés, se disent: et si on faisait notre propre lieu, où on pourrait travailler, et où d'autres comme nous pourraient aussi, sans casser la tirelire? C'est un élan de pair à pair, avec un esprit d'ouverture.

Maintenant, je trouve très bien que les grosses entreprisent réalisent que mettre des gens dans des cages durant 8h30 chaque jour n'est pas le meilleur moyen de les encourager à être productifs et créatifs. Mais quand on crée un espace qui cherche à attirer ce genre de client, est-ce qu'on est vraiment encore dans la logique du coworking? N'est-ce pas plutôt un business centre inspiré du coworking?

On a par exemple The Hub, un réseau d'espaces sous une même bannière, qui se disent du coworking mais qui, quand on regarde d'un peu plus près, sont gérés comme de véritables entreprises, faisant plutôt penser à des business centres -- avec en plus un soupçon d'exclusivité "nous, on est pas comme les autres" qui frotte à rebrousse-poil l'esprit "on est tous dans le même bateau" du coworking.

Peut-être que je suis une puriste. Il est vrai que je m'intéresse au coworking depuis ses débuts, et que je connais personnellement les deux personnes qui ont popularisé le concept et encouragé une communauté internationale à se former autour. J'ai eu la chance de fréquenter Citizen Space à San Francisco durant l'été 2007, et clairement, c'est ce la philosophie derrière ce modèle qui a influencé ma conception du coworking.

Alors allons-y, je me lance. Voici quelques caractéristiques importantes de ce que je considère être le coworking. (C'est pas normatif, hein -- qui suis-je pour dire ce qu'est ou n'est pas le coworking?)

  • Un mouvement de pairs -- par des indépendants, pour des indépendants (ou travailleurs nomades, géo-délocalisés).
  • Une logique "not-for-profit" (l'argent est un moyen, pas une fin).
  • En priorité un lieu de travail.
  • Une communauté "souple": liens faibles (similaires à ceux entre collègues) la plupart du temps, composition relativement stable mais ouverte.
  • Les coworkers ont chacun leur activité professionnelle propre mais travaillent dans un état d'esprit d'ouverture et de soutien mutuel.

En pratique, du coup:

  • Les gestionnaires de l'espace ont un statut similaire aux membres. Bien sûr, ils ne sont pas au même niveau pour ce qui est de la gestion de l'espace, sauf si cela se fait de façon coopérative ou associative, mais leur statut professionnel est semblable. Du coup, quand gérer l'espace coworking est le "sole business" des gestionnaires, on risque un décalage: l'espace coworking n'est plus "pour moi et les coworkers" mais "pour les coworkers". Ça ne veut pas dire que c'est impossible, loin de là, mais je pense que c'est un pas qui s'éloigne de l'esprit du coworking (=faire un lieu où je puisse travailler avec des gens comme moi).
  • Le rôle de l'argent, je me rends compte, est presque pour moi le critère qui permet de tracer une ligne dans le sable et de dire "ce n'est plus du coworking". Avez-vous réfléchi un peu aux finances d'un espace coworking? Le loyer, ce n'est pas donné. Si on veut rester abordable pour des indépendants (qui en général ne roulent pas sur l'or), il faut déjà un nombre conséquent de coworkers juste pour couvrir le loyer et les frais de base (électricité, internet). Alors imaginez si vous rajoutez un salaire à plein temps là-dedans! Si on veut être profitable, on augmente les prix, si on fait payer plus cher, on va soigner le cadre, mettre une secrétaire à la réception, etc. etc... bref, faire un business centre. De nouveau, ça ne veut pas dire qu'on ne peut pas avoir un "vrai" espace coworking au cadre léché avec quelqu'un à l'accueil, mais... on court le risque de perdre de vue l'objectif premier: offrir à ceux qui travailleraient normalement chez eux ou dans des café un lieu de travail abordable qui rompe l'isolement. Je pense qu'il est quasiment impossible de faire du coworking "profitable" sans en pervertir la nature. La plupart des espaces dont je connais un peu la situation (y compris l'eclau) tournent juste, soit que le loyer est pris en charge par un "sponsor" (université, ville), soit qu'il soit vraiment bas (c'est le cas pour l'eclau), soit c'est l'entreprise (individuelle ou non) du gestionnaire d'espace qui "met la différence", considérant cela comme des "frais de bureau" ou du "budget marketing" indirect (c'était le cas à Citizen Space).
  • Le but premier du coworking, c'est d'offrir de bonnes conditions de travail. Cela vient avec une dimension réseautage et synergies (dès qu'on met des indépendants dans la même pièce, c'est inévitable), et quand on a un espace à disposition, cela ouvre la porte à y organiser des activités communautaires -- ce qui est très bien. Attention cependant à ne pas tomber dans l'excès: quand les coworkers ne viennent plus travailler dans leur espace coworking parce qu'ils travaillent mieux ailleurs, parce que l'espace coworking est trop riche de rencontres, de discussions, d'activités, on a certes créé un environnement stimulant et riche, mais est-ce toujours un espace coworking, si on ne vient plus y travailler?
  • Ce sont les liens faibles qui ouvrent le plus de portes professionnelles. C'est bien cette réalité qui sous-tend l'efficacité du réseautage. Il n'est donc pas nécessaire pour un espace coworking de chercher à créer une communauté forte (le churn est assez important, de plus). Par contre, on va chercher quand même une certaine stabilité et harmonie dans la composition des personnes qui fréquentent le lieu (à la différence du business centre, généralement peuplé "d'inconnus") sans toutefois aboutir à un groupe aussi fort et stable qu'un bureau partagé "normal" (il y a régulièrement des nouveaux arrivants ou des visiteurs/gens de passage).
  • Last but not least, les membres d'un espace coworking sont des entités autonomes. On y trouve régulièrement des micro entreprises, bien sûr, mais l'objectif du coworking n'est pas d'associer formellement les activités professionnelles des uns et des autres. Il y a des synergies, et on croit que le partage, l'ouverture et la collaboration apporte plus que le "secret professionnel". On se rend service mutuellement, sans obligation cependant, comme des gens normaux et sympathiques. Ça crée des liens :-)

Voilà! Cet article est devenu bien long, ce n'était pas mon intention initiale! Je garde donc pour une autre fois mes idées sur ce qui caractérise l'eclau en tant qu'espace coworking. Parce qu'il y en a de toutes les formes et couleurs, des espaces coworking -- chacun est libre de décliner le mouvement coworking comme ça lui chante (et chacun est libre aussi, comme je viens de le faire, de considérer l'adéquation ou non de ces déclinaisons avec sa propre conception du mouvement en question).

Qu'est-ce qui fait le coworking, pour vous? Qu'est-ce qui le différencie des bureaux partagés et des business centres? Est-ce que les "grosses machines" du coworking réussissent à garder l'esprit du coworking, ou est-ce qu'elles le perdent en route? Je suis curieuse de savoir ce que vous en pensez.

Deux ans et toutes ses dents!

Le 3 novembre (il y a vingt jours déjà!) nous avons fêté dignement les deux ans de l'eclau. Pour l'occasion, réaménagement complet du mobilier et nouvelles formules (eclau 2.0). Avant de vous montrer quelques photos, je voudrais profiter pour remercier tout ceux qui ont prêté main-forte pour cette journée, que ce soit en faisant les déménageurs ou en préparant les petits plats pour l'apéro. Et un grand grand merci à ceux et celles qui sont venus pour célébrer l'occasion!

Tranformation de l'eclau:

Eclau 2.0 23

Eclau 2.0 40

Eclau 2.0 37

Eclau 2.0 26

Eclau 2.0 24

Eclau 2.0 32

Eclau 2.0 36

L'apéro d'eclauversaire:

Eclau 2 ans 03

Eclau 2 ans 04

Eclau 2 ans 09

Eclau 2 ans 05

L’eclau nouveau est arrivé!

Après une journée de dur labeur, l'eclau a repris une allure de lieu de travail, après une semaine ou deux déguisé en chantier. Des photos? Mais oui, bien sûr. Tout d'abord, l'état "avant". 13h samedi: "bon sang, par où je commence?"

Le dépôt de meubles au milieu de la pièce

(Oui oui, ça ressemblait toujours à ça, sauf avec la poussière en plus et une salle de réunion construite en arrière-plan.)

Là, les choses avaient déjà bien avancé:

Par où je commence

Bon, je passe comme chat sur braises sur les étapes intermédiaires pour vous montrer directement le coin pause amélioré, avec déplacement de la bibliothèque de l'eclau (à consulter sur place) et de la machine à café (à utiliser avec délicatesse et modération). Jeu du jour: trouvez le chat!

Coin pause amélioré

Le coin pause sous un autre angle avec la réponse à l'énigme féline.

Depuis le temps, vous savez à quoi ressemble la pièce "de devant", mais la voici à nouveau, débarrassée de toutes les chaises excédentaires qui l'encombraient récemment.

eclau après rangement 3

C'est maintenant que ça devient véritablement intéressant. Regardons la pièce de derrière et son nouvel éclairage! Ses bureaux! Sa vue sur la salle de réunion! Son tas de meubles à amener à la décharge!

eclau après rangement 4

Pas encore tout à fait final, mais on peut l'utiliser à nouveau, au moins.

Quelques autres points de vue:

eclau après rangement 5

eclau après rangement 11

eclau après rangement 12

Remarquez dans la photo ci-dessus le porte-manteau et le coin "cartes de visite": la deuxième porte, largement inutilisée jusqu'ici, va peut-être trouver sa vocation en tant que "entrée clients et visiteurs", avec accès direct et facilité à la salle de réunion.

La salle de réunion... Oui, juste, je dois encore vous montrer des photos!

eclau après rangement 8

Il fait déjà bon y travailler ;-)

eclau après rangement 7

Et voici la vue par la porte!

eclau après rangement 10

Reste maintenant à définir les conditions d'utilisation de la salle de réunion par les personnes extérieures à l'eclau :-).

P’tit déj le 10 mars (mercredi!)

Aïe, moi qui voulais mettre en ligne les photos du dernier apéro, je me suis fait prendre de vitesse! C'est déjà le moment d'annoncer le prochain p'tit déj, qui aura lieu mercredi de la semaine prochaine (le 10 mars) à 8h. Inscrivez-vous sur doodle, et passez l'info autour de vous, merci! Je dois aussi vous parler de l'article sur l'eclau paru dans 24 heures...

P’tit déj de novembre 2009, mardi 10

Si les apéros sont décalés, les p'tits déjs, eux, ne bougent pas. Mardi 10 novembre 2009, vous êtes les bienvenus à l'eclau pour prendre le p'tit déj (avec spécialité indienne à la clé). L'entrée est libre, mais l'inscription est obligatoire!

Rendez-vous à 8h à l'eclau. Vers 9h30, on range tout et on se met au travail, le ventre plein. :-)

Décalage des apéros: février, mai, août, novembre

J'ai réfléchi: comme chaque année le 3 novembre il y aura l'anniversaire de l'eclau, on va décaler les apéros d'un mois (ils ont eu lieu durant la dernière année en décembre, mars, juin, septembre). Un peu bête en effet d'avoir un apéro en septembre, l'anni en novembre, et encore un apéro en décembre (on aime les apéros, mais là ça fait un peu beaucoup, surtout qu'en décembre tout le monde est déjà bien stressé). Donc, prenez note que les apéros de l'eclau auront lieu (toujours tous les trois mois):

  • le 3 novembre (c'est l'anni!)
  • mi-février
  • mi-mai
  • mi-août

Pour les "mi-" la date exacte n'est pas encore fixée, mais c'est en général soit un mardi soit un jeudi soir (on m'a plusieurs fois réclamé des jeudis, donc on va essayer).

Du coup: il n'y aura pas d'apéro de décembre (snif snif, mais on n'en appréciera que plus celui de février) -- raison de plus pour venir ce soir!

(Et il y a aussi les p'tits déjs si on vous manque trop, entre-temps.)

(Bon, j'ai fini avec les parenthèses, là, promis. Vraiment.)

P’tit déj d’octobre: déjà lundi qui vient! (le 12 de 8h à 9h30)

Je le répète un peu souvent ces temps, mais le temps file, et il est déjà temps de vous inscrire pour le p'tit déj d'octobre à l'eclau. Un lundi cette fois, histoire de bien commencer la semaine! Les p'tits déjs de l'eclau sont ouverts à tous, il suffit de s'inscrire. On se met à table à 8h00 (bon, ok, 8h05 pour les retardataires) et on débarrasse vers 9h30, histoire d'être d'attaque pour la journée :-)

Prochain p’tit déj de l’eclau le 10 septembre

Les sympathiques "p'tits déjs" de l'eclau reprennent: je vous donne rendez-vous le 10 septembre dès 8h à l'eclau pour casser la croûte ensemble avant d'attaquer une solide journée de travail.

  • c'est ouvert à tous, inscrivez-vous simplement sur doodle
  • si vous désirez rester travailler à l'eclau après avoir pris le p'tit déj, il suffit d'amener votre ordinateur!
  • la spécialité indienne (poha) est servie chaude vers 8h10, donc n'arrivez pas trop tard si vous désirez en profiter sous cette forme.

A tout bientôt!

Apéro de l’eclau le 17 septembre

Le prochain apéro approche! L'été a été chaud (à l'eclau aussi, on a appris à fermer les stores aux heures stratégiques et à mettre en marche le ventilateur) et beau, mais il faut bientôt penser à la reprise (pour ceux d'entre vous qui seraient encore en vacances... ahem). Réservez donc illico la soirée du 17 septembre (attention, c'est un jeudi cette fois!) pour venir la passer à l'eclau! Pour ceux qui ne seraient pas familiers avec les apéros de l'eclau:

  • c'est un apéro dînatoire (on repart en ayant soupé)
  • c'est ouvert à tous, il suffit de s'annoncer
  • amenez vos amis!
  • ça a lieu chaque trimestre (au milieu des mois de septembre, décembre, mars, juin)
  • c'est l'occasion de rencontrer les membres de l'eclau et ceux qui gravitent autour, de faire de nouvelles connaissances, d'avoir des conversations intéressantes
  • ça commence dès 18h, et ça se termine quand il n'y a plus personne
  • il n'y a rien besoin d'amener, mais si vous avez envie d'amener une bouteille ou un salami, on ne va pas vous arrêter à l'entrée
  • c'est très très sympa, les gens reviennent!

Je vous propose de procéder ainsi:

  1. inscrivez-vous à l'apéro sur Facebook (ou bien laissez un mot dans les commentaires de cet article si vous n'avez pas de compte Facebook)
  2. notez dans votre agenda que votre soirée du 17 est bookée
  3. le 17, pointez-vous à l'eclau aux alentours de 18 heures (même avant si vous voulez nous aider à installer les chips sur les tables ou couper le fromage en petits cubes)
  4. profitez à fond de votre soirée parmi nous!

On se réjouit déjà de vous voir :-)